samedi, septembre 29, 2007

Bang bang!

Quémander au temps qui s’en va une seconde de gloire
Quémander aux rayons du soleil une lumière d’espoir

Exiger de l’autre une halte aux déboires
Exiger de soi de toujours y croire

Voir la vie
En noir…

Enfin !
Des fois…

10 comments:

Anonyme a dit…

bonjour,
j'ai aimé lire ton histoire quelconque, elle m'a rappelé des souvenirs et des sentiments vécus il y a trop longtemps... de belles choses qui se produisent rarement dans une vie mais qu'on garde au chaud dans un petit coin de sa mémoire. De belles choses qui, j'en ai peur, font partie d'une époque où elles sont encore permises; celle des espoirs encore vierges et des rêves infinis; celle de la disponibilité...
j'aime tes histoires, et tes pensées, elles sont pour moi une escapade ensoleillée dans un quotidien un peu terne depuis quelques temps..
Mes respects, donc...

Houdac a dit…

Bonjour l'anonyme, si les belles choses ne s'altèrent pas avec les actes, les paroles et l'ingratitude envers la seule chance de les avoir vécues, c'est sûre qu'elles demeurent pour la vie. La force des sensations s'esteompe certes, mais le souvenirs reste intact, apportant une joie, de la nostalgie et des sourires enchantés.
Merci pour ton commentaire. Si l'envie de prend de créer un club de personnes dont le quotidien est un peu terne depuis quelques temps...mais qui restent optimistes et joyeux, fais moi signe ;)

Anonyme a dit…

le drame avec le passé, c'est que c'est passé..d'un autre point de vue, c'est une chance. belles choses et malheurs s'additionnent pour former ce que tu es. ironie du sort, on pense aux belles choses avec nostalgie, comme faisant partie d'une époque révolue, et aux malheurs comme étant toujours d'actualité, d'où le quotidien un peu terne...
Par delà tout ça, il reste l'optimisme! ok, j'en suis, de ton club ;)

Houdac a dit…

Anonyme, et si on commençait par inverser notre manière de penser aux belles choses et aux malheures...ça sera donc la première activité du groupe. En attendant, dois-je l'appeler 'club des anonymes...tout court!' ;)

Anonyme a dit…

d'accord, si ça ne reste pas de belles paroles, ça pourrait être une activité intéressante...
"club des anonymes" ça sonne pas mal, et puis tu peux m'imaginer comme ça te plait; pareil pour moi, chère Houdac

Houdac a dit…

Puisque tu parle d'imagination chèr(e) Anonyme laisse moi te dire que j'en ai à revendre...C'est une bonne ou une mauvaise chose? ;)

Anonyme a dit…

c'est une excellente chose bien sûr, mais tu le sais, je ne t'apprends rien...l'imagination nait de la sensibilité, celle-là même qui te joue parfois de mauvais tours, mais qui t'accompagne aussi lorsque tu lis, tu écris, tu crées...
peut-être as tu déja lu "L'éloge de la fuite", d'Henri Laborit. C'est un chirugien, biologiste, et accesoirement philosophe français, et si tu oublies le côté un peu scientifique de ce livre, le message est celui-ci: face à la douleur que tu vis parfois, face à l'injustice, ou la haine, la fuite dans l'imaginaire est une bénédiction, et le mot fuite perd ici sa connotation péjorative..
donc profite de ton imagination parce que c'est un don qui n'est pas donné à tout le monde, et ceux qui ne la connaissent pas passent à côté de quelque chose d'essentiel dans la vie. voici le préambule de ce bouquin:
"Quand il ne peut plus lutter contre le vent et la mer pour poursuivre sa route, il y a deux allures que peut encore prendre un voilier : la cape (le foc bordé à contre et la barre dessous) le soumet à la dérive du vent et de la mer, et la fuite devant la tempête en épaulant la lame sur l’arrière avec un minimum de toile. La fuite reste souvent, loin des côtes, la seule façon de sauver le bateau et son équipage. Elle permet aussi de découvrir des rivages inconnus qui surgiront à l’horizon des calmes retrouvés. Rivages inconnus qu’ignoreront toujours ceux qui ont la chance apparente de pouvoir suivre la route des cargos et des tankers, la route sans imprévu imposée par les compagnies de transport maritime."
c'est marrant que tu me parles de ça maintenant, parce que j'y pense beaucoup ces derniers temps, je viens de lire ce bouquin..
coïncidence..

Houdac a dit…

Coïncidence pour coïncidence ! C’est tout aussi marrant que tu me parles maintenant d’imagination, de fuite et d’imprévus. J’ai l’impression que tu lis un peu dans mes pensées, serais-tu medium par tout hasard ?
En tout cas, tu ne peux savoir à quel point tes mots touchent à une corde sensible : « face à la douleur que tu vis parfois, face à l'injustice, ou la haine, la fuite dans l'imaginaire est une bénédiction, et le mot fuite perd ici sa connotation péjorative.. »
J’avais ces doutes sur cette fuite, sur sa connotation péjorative justement, mais là, disons que tu me réconforte dans mon envie d’user d’ombres, de chiens, et de tombes de jeunes filles sous des arbres généreux pour fuir, aller vers l’inconnu qui s’annonce plutôt rempli de toutes les bonnes surprises qu’offre une vie à laquelle on ne demande pas grand-chose…si ce n’est la vivre, en jouir pleinement et mordre dans des pêches juteuses tout en pensant que peut être demain ce jus ne coulera plus, mais du mois aujourd’hui il est là et il est si délicieux…
Merci pour tes commentaires l’Anonyme. C’est un plaisir de te compter parmi les membres du club…Et c’est toujours une pure joie que de te lire.

Anonyme a dit…

non, je ne suis pas medium, mais j'imagine que tes écrits m'ont quelque peu mis sur la voie..
en tout cas, très heureux d'avoir pu te réconforter, ne baisse pas les bras et regarde devant; je pense que tu as des qualités précieuses

Houdac a dit…

Très heureuse aussi ;)

 
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